Comme l’année dernière, j’ai passé deux jours sur le salon du livre de Paris. Sans programme particulier, sans rendez-vous vraiment fixé, excepté le repas du samedi soir avec une jolie troupe d’auteurs indépendants. Guidée juste par l’envie de rencontrer des gens et le plaisir de déambuler dans la plus grande librairie que j’aie jamais vue !
Samedi matin, le stand d’Amazon est le premier sur lequel je me suis arrêtée. Pas compliqué : il était presque face à l’entrée du parc des expositions. Impossible de le rater.
Tout de suite, j’ai retrouvé des tas de têtes connues. En ai rencontré d’autres. Et en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire ou presque, je me suis retrouvée avec une flûte de champagne dans la main : la troisième édition du concours des Plumes francophones venait d’être officiellement lancée. Et même si certains en étaient encore aux chouquettes, il était presque l’heure de l’apéro 🙂
Premiers contacts, premiers échanges de cartes…
Pendant ces deux jours, j’ai passé pas mal de temps sur le stand d’Amazon. Pour suivre des tables rondes sur l’autoédition, écouter les témoignages des autres auteurs, mais aussi pour des moments plus étonnants. Je garde ainsi un souvenir particulier de la conférence de Fabrice Midal, venu présenter son livre : Foutez-vous la paix ! et commencez à vivre. Un moment hors du temps 🙂
Les speed datings de l’autoédition ont permis de faire émerger de nouveaux talents. Parfois très nouveaux : Ilona n’a que quatorze ans, mais elle a déjà su convaincre le jury. Maintenant, Amazon va l’aider à se faire connaître. Jolie découverte !
Ce salon offre aussi de multiples plaisirs : se laisser happer par une voix qui parle au micro de la décolonisation de l’imaginaire, assister à l’enregistrement en direct d’une émission de radio, ou prendre un siège en attendant que le génialissime Hubert Reeves évoque l’incertitude du futur de notre planète…
L’esprit ouvert, les oreilles aux aguets, j’ai beaucoup grappillé. Des sons, des images, des émotions… Tout ce qui, un jour, peut-être, me servira de matière première !
Et puis, il y a aussi tous ces visages connus croisés au hasard des allées ou aperçus à leur table de dédicace : Enki Bilal, Katherine Pancol, Michel Bussi, Eric-Emmanuel Schmitt… et des forêts de smartphones brandis pour prouver qu’on « y était » ! En ce qui me concerne, pas de photos : j’étais trop occupée à vivre le salon pour en prendre. Mais si vous voulez en voir quelques-unes, vous pouvez par exemple regarder le résumé en images publié par IDBOOX.
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