Pourquoi une trilogie ?

 

Jamais deux sans trois
Je l’ai annoncé dès le début : Le chat du jeu de quilles est (ou plutôt sera) une trilogie. Pourtant, lorsque j’ai commencé à écrire cette histoire, ce n’était pas du tout mon intention. Je la voyais comme un seul livre.

Et puis, au fil du temps et des chapitres ajoutés, j’ai bien vu qu’un seul tome ne suffirait pas, sauf à en faire un monstre de cinq ou six cents pages. Le genre de pavé que, personnellement, j’hésite toujours à entamer, surtout lorsque je ne connais pas l’auteur !

Alors, comme je ne suis pas du genre à infliger aux autres ce que je n’aime pas subir, j’ai décidé de couper mon histoire en deux. Une décision d’autant plus facile à prendre qu’une coupure apparaissait dans mon esprit. Nette et franche. Et du genre à donner envie de lire la suite. Un cliffhanger, comme disent les anglophones.

Sans tarder, je me suis lancée dans l’écriture du deuxième tome. C’était pendant le NaNoWriMo de l’année dernière.

À la fin du mois, j’avais rempli mon contrat : le premier jet du tome deux était écrit… Mais de nouveau un rebondissement m’amenait à envisager une suite !

Les chats ont sept vies, dit-on. Mais de là à écrire sept tomes, il y a un pas que je ne voulais pas franchir. Jamais deux sans trois, dit-on également. Cette fois, l’idée me convenait bien.

C’est donc ainsi que Le chat du jeu de quilles est devenu une trilogie. Dès le départ, j’ai pris le parti de l’annoncer aux lecteurs. Parce que je pense qu’ils ont envie de savoir dans quel engrenage ils mettent le doigt, parce que je m’engage ainsi à écrire trois tomes… et parce que cela m’obligera aussi à ne pas craquer pour un quatrième 🙂

La fin de l’histoire n’est pas encore totalement écrite. Le dénouement se dessine de plus en plus clairement dans mon esprit, mais les questionnements et supputations des lecteurs du tome un ne cessent de me faire entrevoir de nouvelles possibilités

Le premier tome répondait à une question essentielle, celle-là même qui a amené Marc et Manon en Aveyron : qui a tué le père Pommier ? Le deuxième tome devra répondre à une deuxième question : celle sur laquelle le premier tome s’achève (je ne vais quand même pas la dévoiler ici ^^). Et le troisième tome aura la lourde tâche d’apporter tous les éclaircissements nécessaires à la compréhension de l’ensemble.

Alors, un, deux, trois… le chat !

Cet article vous a plu ? Partagez-le !

Laisser un commentaire

4 × 1 =