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NaNoWriMo 2014
C’est après-demain que commence le NaNoWriMo. Vous vous souvenez ? Ce drôle de défi d’écriture qui consiste à écrire en un mois (sur les trente jours de novembre) un roman d’au moins 50 000 mots.

L’an dernier, j’avais décidé au dernier moment d’y participer. Pour ma défense, je dois préciser que l’existence de ce challenge m’était complètement sortie de la tête et que je ne l’avais redécouverte que le 30 octobre

Dans ces conditions, je n’avais pas trop le choix : si je m’inscrivais, c’était forcément sans préparation !

Cela n’a pas empêché l’expérience d’être extrêmement enrichissante et stimulante. Si le cœur vous en dit, vous pouvez à ce sujet relire mon bilan 2013. Un bilan tellement positif que j’ai aussitôt pris la décision de réitérer l’expérience.

Je participe donc à nouveau cette année.

Alors, me direz-vous, cette fois, j’ai dû suivre une préparation en béton… Eh bien, pas du tout !

Psychologiquement, bien sûr, je me suis « programmée » pour écrire les 1 667 mots par jour nécessaires pour atteindre l’objectif. Matériellement, je m’organise pour avoir le moins de contraintes (et donc le plus de temps disponible) possible. Mais pour le reste, il n’y a pas grand changement.

Je ne suis pas le genre d’auteur qui rédige un synopsis détaillé de son livre, avec découpage en chapitres, voire en scènes. Je suis plutôt du genre à laisser l’histoire et les personnages libres d’aller là où bon leur semble. Quitte ensuite à mettre un peu d’ordre pour s’assurer que le résultat est cohérent 🙂

Bref, si je sais depuis longtemps que mon mois de novembre va être largement consacré à l’écriture, je n’ai pas anticipé plus que cela.

La seule différence, finalement, c’est que cette année on m’attend au tournant. Parce qu’on sait que j’ai déjà atteint l’objectif des 50 000 mots l’an dernier… et que donc il va de soi qu’il en sera de même cette année ! Sauf que ce n’est pas si simple et que de nombreux témoignages sur le web attestent du fait que les NaNos sont tous différents et que ce n’est pas parce que celui de l’an dernier a été une réussite que celui de cette année en sera forcément une.

Cela dit, je pars confiante : ce mois de novembre, je vais écrire le troisième tome de ma trilogie Le chat du jeu de quilles. Je connais donc bien mes personnages : Marc, Manon, le chat, Célestin, Gaston… Mon univers : ce petit village d’Aveyron qui n’a pas de nom, le Café des Sports, le terrain de quilles de huit…

Je sais aussi à quelles questions ce troisième tome doit répondre. Alors même si toutes les péripéties de l’histoire ne sont pas encore claires dans mon esprit, les réponses auxdites questions le sont assez pour que je sois prête à faire gambader mes doigts sur mon clavier dès samedi 0 h.

Dans vingt-neuf heures très exactement 🙂

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